Abidjan, le 20 février 2025 – Le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant a réagi avec fermeté aux accusations de cyberactivistes visant Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire. Selon des allégations relayées sur les réseaux sociaux par le cyberactiviste Johnny Patcheko, la Première Dame serait impliquée dans une supposée affaire d’adultère avec un amant secret.
Dans un communiqué officiel, la ministre Nassénéba Touré a dénoncé ces accusations comme étant “malveillantes, calomnieuses et totalement infondées”. Elle a rappelé que ces attaques ne visent pas seulement l’image et l’honneur de Madame Ouattara, mais cherchent également à discréditer l’institution qu’elle représente et à semer la discorde au sein de la nation.
“Madame Dominique Ouattara incarne des valeurs de solidarité et de respect, et son engagement en faveur des femmes de Côte d’Ivoire est incontestable. L’insulter ou la calomnier revient à s’attaquer à toutes les femmes du pays”, a affirmé Nassénéba Touré.
Le communiqué met également en garde contre une tentative d’instrumentalisation de l’opinion publique, en cherchant à affaiblir l’image du Président Alassane Ouattara à travers ces rumeurs infondées. “Ces agissements visent à semer la division et à alimenter une vindicte populaire injustifiée”, a-t-elle ajouté.
Face à la gravité des accusations, la ministre a appelé le Procureur de la République à se saisir du dossier afin que justice soit faite et que l’honneur de la Première Dame soit lavé. Elle a aussi rappelé que la liberté d’expression ne saurait justifier la diffamation et l’atteinte à la dignité d’autrui.
Enfin, le Ministère exhorte les Ivoiriens à ne pas céder aux campagnes de désinformation et à privilégier les valeurs de solidarité et de cohésion sociale pour préserver l’unité du pays.
L’affaire est désormais entre les mains de la justice.
