Dans un communiqué officiel rendu public ce jour, Claudine Afiavi Prudencio, Présidente reconnue pour son intégrité, alerte l’opinion nationale et les autorités de la République sur une grave manipulation dont elle est victime. Depuis plusieurs semaines, des individus malintentionnés usurpent son identité dans le but d’escroquer des citoyens, des personnalités, et même des autorités judiciaires.
voici l’intégralité du communiqué
COMMUNIQUÉ OFFICIEL
À l’attention de l’opinion nationale et des autorités de la République
« Quand la dignité est travestie, quand la
loyauté est instrumentalisée, il faut parler
clair, droit, et debout.»
Depuis quelque temps, des individus mal intentionnés, mus par une soif de profit et une absence totale de scrupules, se livrent à une entreprise de manipulation qui mérite la plus grande vigilance.
Usurpant mon nom, invoquant des proximités factices, ils approchent des citoyens, des personnalités, et même des autorités judiciaires, pour leur faire croire qu’ils agiraient en mon nom, et qu’ils seraient mandatés par moi pour proposer des nominations à des postes de responsabilité dans la République.
Plus grave encore, ces délinquants demandent à leurs interlocuteurs de leur transférer de l’argent par Mobile Money, prétendument à mon bénéfice ou pour des démarches que j’aurais ordonnées. Je le dis ici, avec fermeté et sans la moindre équivoque :
- Je ne m’occupe, ni de près ni de loin, du positionnement de quiconque à un poste de responsabilité dans les institutions de la République.
- Je ne possède aucun compte Mobile Money.
- Je n’ai jamais mandaté qui que ce soit pour aller solliciter de l’argent en mon nom, et je ne le ferai jamais.
- Je n’ai pas été éduquée ainsi. Je ne suis pas rassasiée, mais je n’ai pas faim non plus.
Je tiens à saluer publiquement les procureurs et autres personnalités institutionnelles qui, alertés par ces tentatives indignes, ont eu le réflexe républicain de me contacter
immédiatement. Leur vigilance honore la fonction qu’ils incarnent.
Quant à ceux qui orchestrent ces escroqueries, je les tiens pour moralement déchus, juridiquement exposés et politiquement disqualifiés.
Ils n’ont pas seulement violé la loi, ils ont offensé une certaine idée de l’honneur, du service public et de la dignité humaine.
À mes compatriotes, à tous ceux qui croient à l’intégrité dans l’action publique, je vous en conjure :
Si quelqu’un vient à vous en mon nom pour proférer des insanités ou réclamer des fonds, interpellez cette personne sans hésiter et
prévenez immédiatement mes collaborateurs ou moi-même. C’est ensemble que nous devons opposer un mur d’éthique à la dérive des consciences.
« Le respect ne se quémande pas ; il se mérite par la cohérence des actes et la fidélité aux valeurs. »
Je suis debout, et je le resterai.
Avec droiture. Avec foi. Et avec cette parole qui, jamais, ne tremble.
Claudine Afiavi PRUDENCIO
La P r é s i d e n t e
Ce communiqué met en lumière une pratique malveillante qui met à rude épreuve la confiance et les valeurs républicaines. Claudine Afiavi Prudencio appelle à une mobilisation collective afin de contrer ces actes ignobles qui portent atteinte à la dignité humaine et à l’intégrité de l’action publique. Elle invite chacun à faire preuve de vigilance et à dénoncer toute tentative d’escroquerie liée à son nom