Ce 1ᵉʳ août 2025, le Bénin s’habille de ses plus belles couleurs, célèbre son indépendance, ses valeurs républicaines, sa souveraineté retrouvée. Mais derrière les fanfares, les drapeaux et les discours officiels, il est une autre flamme que l’on célèbre avec émotion : celle de la naissance d’un homme que beaucoup considèrent comme un pilier discret mais solide de la République, le député Jérémie ADOMAHOU.
Lalo, sa terre d’origine, ne tarit pas d’éloges à son sujet. Non pas pour ce qu’il possède ou pour son statut, mais pour ce qu’il représente : une figure de proximité, un homme de terrain, dont la parole est rare mais l’action constante. Dans les collines du Couffo comme dans les ruelles de Porto-Novo, son nom résonne avec respect. Il est de ceux qui n’ont pas besoin de faire de bruit pour se faire entendre, de ceux qui n’attendent pas l’appel des caméras avant de poser des gestes forts. Le député ADOMAHOU, c’est avant tout un homme au contact des gens. Il connaît les besoins de ses populations non parce qu’il les lit dans des rapports, mais parce qu’il les vit, les ressent, les partage.
Ce que ses concitoyens disent de lui, c’est d’abord qu’il est accessible. Qu’il n’a jamais rompu le fil du dialogue avec sa base. Que, député ou non, il demeure ce frère, ce fils, ce voisin à qui on peut parler sans protocole. À l’opposé du politique hautain ou distant, Jérémie ADOMAHOU a choisi une autre posture : celle de l’écoute, du soutien discret, du service sans relâche. Et ce n’est pas seulement le Couffo qui le reconnaît, c’est tout le Bénin qui observe avec admiration la cohérence entre ses paroles et ses actes.
Son humanisme est une ligne de conduite. Il ne s’affiche pas dans des déclarations grandiloquentes, mais se devine dans ses choix, dans ses engagements, dans cette manière de tendre la main là où beaucoup détournent le regard. Le social, chez lui, n’est pas un outil de communication : c’est une responsabilité vécue, assumée, souvent dans la discrétion la plus totale. Il soutient, il console, il intervient, parfois loin des caméras, souvent même à l’insu de ceux qu’il aide.

À l’Assemblée nationale, ses interventions sont mesurées, structurées, profondes. Il ne parle pas pour occuper l’espace, mais pour faire avancer les idées, les propositions, les solutions. Il est de ceux qui rappellent, sans bruit, que la politique peut encore être noble lorsqu’elle est vécue comme un sacerdoce. Sa posture inspire confiance, son calme rassure, son sérieux impressionne.
Ce 1ᵉʳ août 2025, le Bénin célèbre donc deux flammes : celle de son indépendance, et celle d’un homme dont l’engagement quotidien contribue à renforcer cette même indépendance. Celle d’un député qui a su rester fidèle à ses racines, tout en embrassant des responsabilités nationales avec dignité. Celle d’un fils de Lalo qui honore le Couffo et élève l’image du parlement béninois.
Que ce jour d’anniversaire, coïncidant avec la naissance d’une nation libre, rappelle à chacun que les grandes figures de notre société ne sont pas toujours celles qui crient le plus fort, mais souvent celles qui marchent avec constance, droiture et humilité. Jérémie ADOMAHOU en est la parfaite illustration.