Le 12 septembre 2024, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a annoncé la dissolution de l’Assemblée nationale et fixé des élections législatives anticipées pour le 17 novembre. Depuis, une centaine de partis d’opposition, regroupés au sein de l’Alliance pour la transparence des élections (Atel), s’inquiètent du manque de dialogue avec les autorités, notamment le ministère de l’Intérieur, sur l’organisation de ces élections. Ils demandent des concertations urgentes pour garantir un scrutin transparent et un consensus national.
L’absence de discussions, ainsi que le flou autour de la suppression du système de parrainages citoyens, suscitent des critiques. Atel appelle à une concertation immédiate pour assurer la crédibilité du processus électoral.