Lalo, 31 juillet 2025 – À la veille du 1er août, date historique de l’indépendance du Bénin, la commune de Lalo célèbre une autre naissance porteuse de symboles : celle de Monsieur le Maire William Tohouégnon FANGBEDJI, né un 31 juillet, comme pour rappeler que certains parcours naissent sous le sceau de la liberté, de l’engagement et du devoir.
Cette coïncidence de dates donne un relief particulier à son anniversaire, tant elle semble refléter le sens même de son parcours : œuvrer pour l’émancipation, l’unité et le développement de sa communauté. En lui, le service public n’est pas une fonction ; c’est une vocation.
Le prénom William, d’origine anglaise, fusionne deux puissants mots : “Will” (volonté) et “I am” (affirmation de soi). De cette union découle une formule de vie : « Je veux, donc je peux ». Et celui qui porte ce nom a su, au fil des années, démontrer que la volonté sincère peut déplacer les montagnes, construire les routes, réconcilier les différences et transformer la réalité locale.

Son second prénom, Tohouégnon, plonge ses racines dans la sagesse traditionnelle. Il évoque les fondements solides, le respect de l’héritage, l’élévation patiente. Avec ces deux noms, William Tohouégnon FANGBEDJI incarne un équilibre rare entre modernité éclairée et profondeur identitaire.
Dans un paysage politique souvent bruyant et agité, le Maire de Lalo a choisi une autre voie : celle de la rigueur silencieuse, de la loyauté, de l’écoute et de la persévérance. Il n’a pas fait du pouvoir un tremplin personnel, mais un outil de proximité au service du bien commun.
Comme l’enseignait Sénèque : « La volonté trouve le chemin, le refus cherche des excuses. » À Lalo, Monsieur FANGBEDJI n’a cessé de trouver et d’élargir les chemins. Il n’est pas un homme de promesses creuses ; il est un homme d’actions concrètes et de vision à long terme.
En ce 31 juillet, la population de Lalo, dans son ensemble, lui adresse ses vœux les plus profonds : santé, clairvoyance, paix intérieure et succès dans ses engagements futurs. Car célébrer William Tohouégnon FANGBEDJI, c’est aussi saluer une manière rare et précieuse de servir.