Le 19 février marque une date clé dans l’histoire politique du Bénin. C’est en effet ce jour-là, en 1990, que débuta la Conférence Nationale, un événement majeur qui a posé les bases de la démocratie béninoise et insufflé un nouvel élan au pays.
Un héritage démocratique à préserver
Trente-cinq ans après cette rencontre historique, Daniel Edah, Président du mouvement politique « NOUS LE FERONS » et quatrième Coordonnateur Adjoint du Cadre de Concertation des Forces Politiques de l’Opposition, revient sur l’importance de cet héritage démocratique. À travers son message, il met en lumière les acquis de la Conférence Nationale tout en soulignant les défis actuels qui menacent ses principes fondamentaux.
Selon lui, les valeurs de réconciliation, de pardon et de démocratie, qui ont permis au Bénin de franchir un cap décisif à l’époque, semblent aujourd’hui s’effriter au profit de divisions politiques et sociales.
Un appel à l’unité nationale
Face à cette situation, Daniel Edah exhorte l’ensemble des Béninois, qu’ils soient de l’opposition ou de la mouvance présidentielle, à renouer avec l’esprit de la Conférence Nationale. Il plaide pour un dialogue sincère et inclusif afin de renforcer la cohésion nationale et de bâtir un avenir fondé sur les principes de justice, d’équité et de prospérité partagée.
Alors que le Bénin célèbre ce 35e anniversaire, l’appel de Daniel Edah résonne comme un rappel à l’unité et à la responsabilité collective pour préserver l’héritage démocratique du pays.
Voici l’intégralité de son message.
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